La Factry: le gym de votre créativité
«Voyez la créativité comme un muscle et la Factry comme votre gym», peut-on lire sur le site internet de l'école des sciences de la créativité. Mais la créativité, ça s’apprend? Selon la Factry, oui.
Passionnée par la culture sous toutes ses formes, Mélissa Pelletier a un dada assumé pour tout ce qui touche la relève et les coulisses de l'industrie. Fondatrice et rédactrice en chef du webzine Les Méconnus et journaliste indépendante pour plusieurs médias, Mélissa écrit pour Baron depuis 2013.
«Voyez la créativité comme un muscle et la Factry comme votre gym», peut-on lire sur le site internet de l'école des sciences de la créativité. Mais la créativité, ça s’apprend? Selon la Factry, oui.
La santé mentale au travail est encore un tabou en 2018. Et dans certains milieux, c’est malheureusement encore plus vrai. Qu’en est-il dans le monde des médias? Les secrets de polichinelle sont légion, si ce n’est la norme. Entrevue avec deux intervenants qui ont accepté de nous raconter leur histoire… sous le couvert de l’anonymat.
Plusieurs le vivent, mais peu en parlent. La santé mentale au travail est un tabou qui persiste. Avant de devenir entrepreneure et de partir sa propre compagnie, Gaëlle Bodin a vécu de l'épuisement professionnel qui s'est traduit par des douleurs corporelles et une santé fragile.
L'ergothérapie, ça vous dit quelque chose? En en apprend plus sur cette pratique encore méconnue du grand public.
On peine déjà à s’adapter au virage numérique qui fluctue de jour en jour que déjà, il faut tout de même penser à l’avenir. De quoi sera fait demain pour les gestionnaires de communauté?
Connaissez-vous l'Ayurvéda? Cette forme de médecine traditionnelle d'origine indienne préconise une approche globale de la santé entre plantes, massothérapie, psychologie et chirurgie. Naturelle et multimillénaire, l'Ayurvéda s'adapte aux besoins de chaque personne selon ses doshas. L'idée? Trouver l'équilibre. Plein phare sur cette technique médicale méconnue avec Jonathan Léger Raymond, Hta, herboriste accrédité, thérapeute ayurvédique, co-fondateur de l'Espace Ayurvéda et du site Ayurvéda Révolution.
Que ce soit de répondre du tac au tac – et avec humour, excusez-nous pardon – aux internautes, de penser à LA formulation qui va mettre une publication banale au rang de coup de génie viral, ou tout simplement de gérer une erreur avec panache, beaucoup de gestionnaires ont le don d'impressionner jour après jour malgré l'ampleur (et le côté vaguement flou) de la tâche.
Quand on demande aux gestionnaires de communauté quelle plateforme a le plus d'importance et de force de portée aujourd'hui, la réponse est automatique, c'est Facebook.
Malgré toutes les diverses difficultés rencontrés, qui sont presque écrites dans la définition de tâches du métier de gestionnaire de communauté, quels sont les plus grands défis du quotidien?
On peut facilement comparer les réseaux sociaux à une marmite bouillante qui peut déborder à tous moments. Que ce soit une photo qui ne passe pas, un commentaire inapproprié ou un client mécontent qui le fait savoir vertement, la crise n'est jamais bien loin pour un gestionnaire de communauté.
Quel est le pire cauchemar d'un gestionnaire de communauté selon vous? On vous le donne en mille: faire une erreur. Dossier sur un métier en plein essor.
La gestion de communauté est devenu un incontournable de toute entreprise qui se respecte. Qui sont ces gens qui ont pris le pas sur cette profession somme toute récente? À quoi ressemble leur quotidien? Dossier sur un métier en plein essor.
Dossier sur un métier en plein essor.
«La compétition ne vient même pas des autres éditeurs, elle arrive surtout de Netflix, de Spotify, des vinyles, même des jeux vidéos...»
«Le temps de lecture est maintenant happé, grignoté, par tout ce qui permet d'avoir de l'information. Il y a clairement moins de gourmandise envers la lecture.»»
«Certains journalistes aiment tout, sont très gentils... On est dans une drôle de société où tout le monde essaie d'être gentil. Les artistes n'attendent plus la critique.»
«Avant, j'écrivais des romans et je me demandais si un jour j'allais pouvoir vivre de ça. Pour moi, c'était un peu inatteignable.»
«On n'a pas un gros bassin de lecteurs au Québec. Le taux de littératie tourne autour de 50%. Le reste est constitué d'analphabètes fonctionnels. Ça n'aide pas non plus que l'attention soit de plus en plus morcelée. Les gens lisent oui, mais sur les réseaux sociaux.»
Une nouvelle chronique de la série Derrière la couverture – Point sur l'industrie du livre au Québec
«On est très décomplexés, on a pas beaucoup de vernis. On a un côté un peu punk!», avoue Soucy en riant. «On va chercher un autre public que le Festival de la poésie de Trois-Rivières, et on comble chacun un besoin.»
Si vous aviez dit à Jean-Luc Loiselle qu'il se retrouverait directeur commercial à l'Agence du livre un jour, il ne vous aurait peut-être pas cru.
«Il faut prendre le risque. Tous les grands, comme Yves Beauchemin ou Marie Laberge, ont écrit un premier roman.»
Une première entrevue avec une sensation du monde littéraire, dans le cadre de la chronique Derrière la couverture – Point sur l'industrie du livre au Québec.