Microbrasserie Brasseurs du Monde x Baron
Quel parcours vous a mené vers le tatouage?
Je n’ai jamais arrêté de dessiner depuis ma plus tendre enfance, souvent sur un coin de table ou de cahier pour m’évader d’un système scolaire pas fait pour moi, ou pour faire rire les copains.
Puis, après plusieurs années en tant qu’horloger, j’ai repris mes études pour devenir illustrateur (j’ai toujours été attiré par les métiers manuels et minutieux). Je me suis fait faire mon premier tatouage à 18 ans, l’intérêt était là, mais c’était un monde qui me paraissait complètement hors de portée. Finalement, j’ai pu y mettre un premier pied dedans en 2014, et pour le moment, je ne changerais de métier pour rien au monde.
Qu’est-ce qui vous a poussé à faire carrière dans ce domaine?
L’illustration, le rapport au corps, le fait de devoir s’adapter à chaque situation me rappelant que rien n’est acquis et de ne pas me reposer sur mes lauriers. Gérer mon temps pas mal comme je l’entends, et surtout, vivre de mon art, ma passion tout en faisant un métier qui me rend heureux.
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Un mot pour définir quel type de tatoueur vous êtes…
Hum… Fun? Ha Ha!
Qu’écoutez-vous comme musique en travaillant?
Essentiellement du rock et ses nombreux dérivés (hardcore, post-hardcore, stoner, pop, folk…) mais de tout finalement, tant que ça vient me chercher et que cela correspond à l’humeur du moment.
À la fin d’une journée, quelle bière buvez-vous pour vous détendre?
Ca sera une IPA bien fraîche pour moi! En fait, pas mal n’importe quel genre tant qu’il y a des bulles et que ça ne goûte pas le café…
À déguster… IPA: L’Interdite 90.
Plus d’infos sur le salon Tattoo Nouvelle Ère: ici. Restez à l’affût de notre couverture photo de l’événement!
Salon Tattoo Nouvelle Ère: Du 25 au 27 mai à Le Salon 1861, 550 Richmond, Montréal: événement facebook.
