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Plusieurs expositions à découvrir au Québec en janvier et février 2018

Plusieurs expositions à découvrir au Québec en janvier et février 2018

«L’apparente simultanéité des étoiles dans le ciel d’aujourd’hui» Laurent Lévesque au Centre Bang à Chicoutimi. Jusqu’au 10 février. 

«L’exposition L’apparente simultanéité des étoiles dans le ciel d’aujourd’hui réunit huit nouvelles œuvres de l’artiste Laurent Lévesque, réalisées entre 2015 et 2017. Certaines de ces œuvres ont été créé en mai dernier dans le cadre de sa résidence au centre Bang, en collaboration avec le CGQ (Centre de géomatique du Québec).» Plus d’infos

Yves Tremblay au Centre Bang à Chicoutimi. Jusqu’au 2 février 2018.

«L’exposition présente deux installations qui évoquent les notions de parcours et d’itinéraires dans l’espace: ALUVERNIUM et DÉRIVATION.» Plus d’infos

«Le cycle des méditations» Rober Racine au Musée d’art contemporain des Laurentides à Saint-Jérôme. Jusqu’au 28 janvier.

«Rober Racine présente un travail inédit où il investit une collection d’images de l’espace et de la conquête spatiale ayant appartenu à l’artiste Charles Gagnon (1934–2003) et qu’il s’est fait léguer. À partir de 1 800 diapositives représentant le cosmos, le projet met en lumière une fascination du ciel chez ces deux artistes. S’ajoute à cette nouvelle production un corpus d’œuvres choisies qui permettra de saisir l’ampleur du travail de Racine, notamment celui réalisé à partir du dictionnaire et dont les déclinaisons démontrent une incroyable poésie issue de la matière primaire du langage, les mots.» Plus d’infos.

«Carte de visite» Collectif de la Galerie Colline au centre d’artistes Vaste et Vague de Carleton-sur-mer. Jusqu’au 16 février.

«Cette exposition collective est un projet regroupant une cohorte de huit artistes néo-brunswickois de la nouvelle génération, œuvrant dans des disciplines variées et présentant des démarches qui s’inspirent de pratiques émergentes.» Plus d’infos.

«Mais où sont les épices?» Debby Talbot au Centre national d’exposition de Jonquière. Jusqu’au 21 janvier. 

Plus d’infos sur l’exposition.

«Western catholique et Klondike québécois» François Ruph à l’Écart de Rouyn. Du 26 janvier au 25 février.

«Intitulé Western catholique et Klondike québécois, ce projet de photographie documentaire sur l’Abitibi et le Témiscamingue est né d’un intérêt grandissant de ma part pour l’histoire particulière d’un pays de colonisation récente et de cultures bigarrées, conflictuelles, anarchiques, ainsi que de leur transformation rapide au courant des années 1970. À mon arrivée à Rouyn-Noranda, au Cégep, en tant que professeur de psychologie, les rues larges, certaines encore en gravelle, les bâtiments à fronton style western, les maisons en planches, bancales et plus ou moins délabrées, la succession des cinémas, des hôtels, des bars, des maisons de chambres, toutes ces caractéristiques des «boomtown» évoquaient pour moi des récits de Jack London sur le Klondike qui avaient nourri l’imaginaire de ma jeunesse.» – François Ruph. Plus d’infos.

«Méfie-toi du blanc» Marcelle Ferron au Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul. Jusqu’au 10 juin.

«Marcelle Ferron a poursuivi sa peinture sans jamais creuser un sillon programmé à l’avance. Il y a quelque chose du journal intime dans cet accrochage qui pourtant ne procède d’aucune chronologie. Provenant avant tout de la succession de l’artiste et dans une moindre part de la collection du Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul, cette cinquantaine de toiles et ces quelques œuvres sur papier sont comme les journées qui passent et ne se ressemblent pas. Nous sommes introduits dans leur intimité. Ce sont des accidents, des joies, des peurs, des angoisses, des jubilations. Autant de luttes avec la matière. On s’y rapproche de leur auteure qui s’y reconnaît comme dans un miroir. Virtuosité. Sûreté. Maîtrise. Mais aussi inquiétudes.» Plus d’infos

«Vidéoconférence» Rabih Mroué à la Galerie UQO de Gatineau. Jusqu’au 3 février.

«En 2011, l’artiste élabore une série d’œuvres qui aborde frontalement le rôle des écrans dans la révolution syrienne. Plutôt que de fournir l’explication de ce qui se passe, il opte plutôt pour une extrême déconstruction qui nous confronte à l’impossibilité paradoxale de tout «voir», même le moment le plus réel, c’est-à-dire la documentation de sa propre mort. The Pixelated Revolution traite d’un changement important de paradigme dans la façon de rendre visibles les conflits, de diffuser l’information sur ces conflits et d’introduire une nouvelle forme de narrativité. Dans ce travail, les enjeux politiques occupent le deuxième plan, c’est le rôle des images en temps de guerre qui est le principal vecteur de l’œuvre. Bien qu’il ne s’agisse pas d’affirmer notre conviction dans la vérité de la représentation de la réalité, il est d’abord et avant tout question de la fonction des images comme acteurs de cette réalité.» Plus d’infos

«Les apparitions» Jocelyne Alloucherie, Angela Grauerholz, Michael Floment, Tadashi Kawamata au Musée d’art de Joliette. Jusqu’au 21 janvier.

«L’exposition Les apparitions rassemble des œuvres dont l’esthétique éthérée capte des moments fugaces à travers la ville. Les ombres d’un arbre aux branches sinueuses projetées sur l’asphalte de la rue (Jocelyne Alloucherie), un lieu en apparence vacant (Angela Grauerholz), une main (Michael Floment) ou encore un habitacle de fortune prenant place dans un paysage déserté (Tadashi Kawamata) s’offrent à nous à la manière de prises de vues subjectives. Les images sélectionnées dans cette exposition qui évoquent l’imaginaire, l’énigme, peut-être même le fantasme (qui sait?), nous conduisent dans un espace de dialogue qui se réactualise constamment en raison de sa nature irrésolue. De ce fait, les images donnent à penser et font apparaître des idées.» Plus d’infos.

«Observer, l’expo qui déroute» au Musée de la civilisation de Québec. 

«Engagez tous vos sens et exercez votre curiosité dans cette exposition conçue pour les jeunes et les familles. Déjouez quelques pièges afin de trouver votre chemin et de tout voir. D’une ville à un boisé, en passant par le ciel et un grenier, ou l’inverse(!), votre sens de l’observation est mis à l’épreuve. Un parcours déstabilisant; des expériences variées.» Plus d’infos

«Particules élémentaires» Marie-Ève Fréchette au centre d’artistes en art actuel Regart de Québec. Jusqu’au 28 janvier.

«Dans une volonté d’abstraire l’objet de sa fonction au profit de la forme, l’artiste cherche à en modifier le mode d’existence afin qu’il se révèle autrement. En fragmentant et assemblant des objets faits main et usinés, des artefacts et des matériaux divers, elle construit des objets insolites et dynamiques dans lesquels réside une tension née de l’incongruité des connexions, multipliant ainsi les angles d’approches de l’œuvre. Fréchette s’intéresse à ce potentiel d’interaction entre les éléments isolés qui se contaminent et s’entrechoquent, se fusionnent et s’opposent à la fois.» Plus d’infos.  

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