Par Maryse Boyce

Au menu, des performances de danse signées Jacques Poulin-Denis (Grand Poney) et les étudiants de l’École de danse contemporaine de Montréal, une courte prestation de La Bronze et des Buffalo Hat Singers, ainsi que des DJ sets endiablés de DJ Tignasse tout au long de l’événement et de Pierre Kwenders pour clore la nuit.

En parallèle, des conversations avaient lieu avec Marilou Craft, sur qu’est-ce que «le vivre ensemble», Jonathan Durand Folco sur la «réappropriation de la ville, réinvention de l’habiter», Félix Gravel sur l’«exploration du vocabulaire et de l’imaginaire de la mobilité urbaine» et Widia Larivière sur comment concrétiser la réconciliation et décoloniser les relations entre Autochtones et Allochtones.

La direction artistique de la soirée était signée Philippe Cyr, l’animation était assurée par Gabrielle Côté et Jean-Philippe Baril-Guérard, alors que la scénographie a été réalisée par Josée Bergeron-Proulx et ses étudiants, qui ont réinterprété les différents possibles en trois stations. Beaucoup de gens étaient au rendez-vous, bien qu’en raison de l’aspect très vaste de la Grande Bibliothèque et des différentes activités se déroulant simultanément, la taille de la foule était difficile à évaluer.

Les POSSIBLES ont eu lieu toute l’année grâce au travail acharné de LA SERRE – arts vivants. Ses codirecteurs Jasmine Catudal et Vincent de Repentigny ont d’ailleurs pris la parole quelques fois au cours de la soirée: la première pour dévoiler le 12e possible, l’oeuvre interactive Instrument à vent, réalisée par Étienne Paquette, qui se trouve devant la BAnQ, la deuxième pour présenter le manifeste des POSSIBLES et dévoiler la plateforme possibles.ca, où sont archivés (et très bien documentés) les événements ayant eu lieu cette année, et où le public sera convié à proposer des nouveaux POSSIBLES en 2018.

Voici nos photos de la soirée: