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École nationale du meuble et de l’ébénisterie de Montréal : les finissants exposent leur projet

École nationale du meuble et de l’ébénisterie de Montréal : les finissants exposent leur projet

C’est au croisement des artères de Lorimier et Masson que se cache l’unique école d’ébénisterie montréalaise. Cette institution a été annexée au Cégep de Victoriaville il y a une vingtaine d’années et accueille aujourd’hui plus de 70 futurs techniciens en ébénisterie.

Lampe, jardinière, fauteuil, table d’entrée, secrétaire, table à café, lit, commode, table à dîner, ou encore buffet à vin, autant de projets impressionnants étaient présentés lors de l’exposition Sorti du bois, organisée par les finissants et présentée du 25 au 27 avril.

Baron est allé rencontrer la quinzaine de diplômés pour recueillir leurs impressions concernant l’aboutissement de leurs trois années d’études au sein de l’École nationale du meuble et de l’ébénisterie.

Balados :

Mathile Caramagno et Pierre Olivier Robitaille :

Dans cette baladodiffusion, Mathilde et Pierre Olivier nous expliquent pourquoi ils ont choisi l’École nationale du meuble et de l’ébénisterie de Montréal : « Je me suis lancé les yeux fermés sans trop savoir pourquoi, comme je fais tout le temps, et, jusqu’à présent, ça a marché. »

Kevin Carbonneau :

Dans la famille Carbonneau, tout le monde est plutôt habile de ses mains. Kevin a donc décidé de suivre la formation de technicien ébéniste pour présenter, lors de l’exposition,  une commode futuriste faite de noyer et de Corian : « Je ne sais pas encore vraiment ce que je veux faire. Je n’aime pas trop passer beaucoup de temps dans l’atelier, où on répète la même opération à longueur de vie. Moi je veux toucher à tout et j’aimerais démarrer ma propre entreprise. »

Jaroslaw Guz et Audrey Horan :

Pour ces deux finissants, l’École nationale du meuble et de l’ébénisterie a une ambiance chaleureuse où tout le monde finit par se connaître. Jaroslaw explique que, parce que la concurrence est inexistante dans cette école, tout le monde s’entraide : « Ici, l’ambiance est agréable. On est un petit groupe et tout le monde se connaît. On est comme une petite famille. »

Jaroslaw Guz et Audrey Horan // finissant de l’école nationale du meuble et de l’ébénisterie by Baronmag on Mixcloud

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